La saison que je vis c'est la fin d'un bel été;
Au printemps, ni envie ni désir d'y retourner.
Ni pluies printaniéres ni vents lointains n'existent,
Ces fleurs si généreuses ne me rendent plus triste.
J'observais les choses de loin,elles sont tout prés maintenant,
Je suis presque devenu tel que je le voulais dans temps.
Je n'avais jamais senti l'odeur des fruits ainsi,
Je viens de renoncer à l'attente de ma chérie.
J'ai compris la valeur d'un soleil et d'un ciel immense,
De tout mon cœur et de toute mon âme, la terre, viens, je t'embrasse.
Je ne suis plus troublé par la petitesse des hommes,
Lâcheté, fidélité, ces choses, peu m'importe en somme.
Ni souci ni tristesse à la fin d'un été vert,
Si je sentais la peur que vienne l'hiver.
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