CÉSURE - VI Poem by Habib Tengour

CÉSURE - VI

Elle n'a jamais quitté cette trace qui se lit dans la roche quelquefois. Chacun localise là où une nostalgie le presse. Pour la décrire tu invoques les arbres et la faune à l'entour. Tous les patelins d'Arabie, et leurs fleurs précoces et leurs bourrasques y passent.

Une géographie idéale où les stations s'équivalent. Les femmes de la tribu sont belles et inaccessibles. Le désir violent moque ton ardeur. Il dérive sans retenue dans la joute. Il y a aussi le vin rouge et les algarades.

« Et l'amour ? Comment cela se passe, dans le désert ? Car ces gens aiment par-dessus tout ! »

Le poète se fie à sa technique et l'étendue du vocabulaire. Il a toute une année pour accomplir sa tâche.

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Habib Tengour

Habib Tengour

Algeria / Mostaganem
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