Un Manège Poem by Marcel Aouizerate

Un Manège

Tu chevauchais le cheval jaune
La terrible voix de l’opérateur
T’ordonnait de saisir plus fermement les pompons

On ne peut tout te donner,
Si bien que le sacré fut ce qui se retira de l’échange

Les trois pépins de pastèque qui figuraient
L’hésitation de tes principes
Restaient sourds au fond du poing.

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