Eventrez le haut mont pour y mettre son corps,
Car seul une montagne est une sepulture
A sa taille, un tombeau digne de sa stature,
Que la posterite verra grandir encore.
Le tronc d'abre de la liberte d'ouverture,
Afin d'harmoniser en un supreme accord
A celle du vivant la demeure du Mort,
Ce triste Fort de joux, et son architecture
Sobre et haute, au-dessus des massifs capitaux
Ou, calme dans sa force adosse les taureaux
Sur son cou replie supporte son entrave.
Que la pierre soit rase et que l'artiste y grave
En trois langues, Libertad, Freedom, Liberte
Toussaint l'ouverture des noirs et d'leur fierte.
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