Extract Of The Kiss Of Opium Poem by AID Abdelhakim

Extract Of The Kiss Of Opium

L'EXTRAIT DU BAISER D'OPIUM

Peut-être? J'ai dû verser trop de sève, ou il manqué le saule de la chute de NIAGARA. Tous les nœuds sont usés, la résistance à être libre court dans tous les sens. La glace fond en demi-saison, le verglas éclaire les visages, encore des cachoteries à fuir, des paupières à rougir, des cicatrices à guérir. Je l'assois, contemple la vie, chasse ce temps l'ère du crépuscule s'ouvre en rayon sur le sien de l'avenir. J'ai perdu le sang de mon temps à renouer avec ma plume. Une braise a été le déclic à reluire la rupture. L'aigle garde le secret du temps sous l'envergure de ses ailes, j'en profite de ma magie à les dévoiler. La dame au tarot n'a pas de chance, n'a jamais su acquérir le pouvoir à concrétiser sa destinée, demanda ma bénédiction. Le voile de mon bateau que j'ai recousu revoit les rebords du rivage plein d'émeraude vierge en coquilles les plus savoureuses. J'en suis fier, je n'ai pas pu dorée mon cœur de félonie, ni les reflets de me yeux de faux miroir aux abstraites lumières. Mon cœur gonflé d'avoir vénéré une stèle au sens propre du mot, une sirène. Je garde le secret sous la fleur d'oranger. Trois larmes que je dédie, larmes de joie tristesse et amour. Celle de la joie elle efface les larmes de tristesses, mais les larmes d'un pur amour, certaine âme fugue leur regard, peur d'y souffrir à s'aventurer, s'avère morbide à nos blanches nuits ou une relance tenace aux valeurs humaines vers une vie descente dont la femme fait partie de nos soucis. Je suis certain, convaincu, grandeur des sensations humaines vers l'éclat paradisiaque. L'éden stellaire aux douces lumières, et le charme des senteurs des quatre saisons. Je rassemble sous mon oreiller le passé qui blasphème dans le noir. LE SILENCE garde encore sa couronne (LA SAGESSE) Entre le bien et le mal, par respect, nos instances images (LES SOUVENIRS) s'inclinent devant le roi, sauvegarde son trône loin du vent houleux et cette vague humaine à langue tendue. La colère tantôt sauvage ou froide fonce nos sourcils, détruit les roses sous nos rêves ratés. Les mots seuls rares beautés, un mélange d'un beau jour en quatre-saisons, un soleil radieux, la neige embrase une douce grêle, la pluie reluit la terre verdâtre aux chants d'iris de ma bien-aimée. Un plus beau moment chaud, en simple baiser d'opium. Je suis parmi vous, rassemblant mes écrits de sous les décombres taris et qui vous ressemblent, personne ne pourra arracher ma plume dorée de mon âme. Le temps fuit, je demande à DIEU une longue haleine afin de briser le silence de l'astre filant.


Perhaps? I have paid too much sap, or he missed the willow of Niagara Falls. All nodes are worn, the resistance to be free rein in every direction. The ice melts in spring and autumn, ice illuminates the faces, still cachoteries to flee, eyelids blush, scars heal. I assois, contemplating life, this time hunting era opens in the twilight of his radius of the future. I lost the blood of my time to reconnect with my pen. An ember was polishing the trigger break. The eagle keeps the secret of time in the span of its wings, I want my magic to reveal them. The lady with the tarot has no luck, could never acquire the power to realize his destiny, asked for my blessing. The veil of my boat I have edges sewn reviewing the shore full of emerald blank shells the tastiest. I am proud, I could not gilded my heart of felony, or the reflection of my eyes to the false mirror abstract lights. My heart swelled to have worshiped a stone in the true sense of the word, a mermaid. I keep the secret under the orange blossom. Three tears I dedicate, tears of joy, sadness and love. That of the joy it erases the tears of sadness but tears of pure love, certain soul fugue their eyes, afraid to venture out to suffer, is morbid to our white nights or persistent stimulus values human life down to one whose wife is part of our worries. I am sure, convinced, size of human feelings to the brilliance of paradise. The Eden star with soft lights, the scent and charm of the four seasons. I collect under my pillow the past that blasphemy in the dark. SILENCE still has her crown (WISDOM) between good and evil, out of respect, our bodies images (souvenirs) bow to the king, his throne back away from the stormy wind and the wave human language tense. Anger sometimes wild and cold dark our eyebrows, destroyed the roses in our dreams failed. Words alone rare beauty, a mixture of one day in four seasons, bright sunshine, snow sets ablaze a soft hail, rain shines on the earth green iris songs my beloved. A most beautiful moment hot single kiss of opium. I'm here, bringing my writing dried up from the rubble and like you, no one can snatch my pen gold of my soul. Time flies, I asked God for a long term to break the silence of the star spinning.

Extract Of The Kiss Of Opium
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