Diké Alozie Poems

Fervor, desperate cries of love,
you do that to me and more.

Your absence, I now hold with care,
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Ma belle d’un rêve, d’un rêve d’une nuit, d’une nuit le jour, le jour d’une vie.
Perplexe tu te sens dans un si beau décor, c’est le rêve d’une nuit que j’imagine très fort.
Je suis le gai, les loups dressés, le temps se perds dans un baissé.
Un ombre au ciel c’est ce qui te trouble, d’une nuit le jour tout semble dissoudre.
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Le crépuscule ferme la porte d’une journée bien triste.
Sur ses lueurs rose qui virent violet, s’accrochent les branches toutes nues de la forêt.
A travers eux, la tête hochée, un lampadaire éclaire ses pleures.
Les goutes s’égorgent, brillent un dernier instant réfléchi, avant de s’éclater en larmes.
...

The cold splash of the breaking wave, heaves salty reminders of our trials too bare.
And the cobbled shores once rearranged, lay prone to slide again with the coming tide.
Its clockwork pushed by hands supreme, and in its wake content to glean or wean.
Wait distils a more suspended state, where time and motion are no longer but a distant sore.
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