Quand je suis en disgrace avec la Fortune et les yeux des hommes,
Je pleure tout seul mon etat de paria,
Et je trouble le ciel sourd de mes cris sans reponse,
Et je me regarde, et je maudis mon sort,
En voulant que je fus comme un autre plus riche d'espoir,
Avec des traits comme lui, comme lui avec des amis beni,
En desirant l'art de de cet homme-ci, et la capacite de cet homme-la,
De ce que j'aime le plus le moins content;
Toutefois en ces pensees en me meprisant presque,
Je pense heureusement a toi, et puis mon etat,
Comme l'alouette au point du jour en levant
De la terre maussade, chante des cantiques a la porte du paradis;
Car ton amour doux rappelle une telle richesse apporte
Que je dedaigne a echanger mon etat avec des rois.
- 'Sonnet 29'. William Shakespeare (1564-1616) . From 'Complete Works of Shakespeare', op. cit., p.1367.
This poem has not been translated into any other language yet.
I would like to translate this poem