Quand les larmes se déferlent,
Quand les vagues de pleurs de perle
Envahissent les vallées et les villages,
Les xénophobes giflent les êtres de tous les âges;
Quand la détresse détruit presque tout
Et joue, comme des fous, tous les atouts,
Pour pénétrer la carcasse du cœur,
Et nous truffer d’amertume et de peur;
Nous, les scribouillards, lamentons,
Comme des pauvres moutons;
La vie est imprégnée ainsi de cauchemars.
Après l’agonie anticipée du mois de mars,
Il pleure profusément pour une bonne raison,
Puisqu’ au dehors, on a une nouvelle saison.
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