Pyramides Poem by Marcel Aouizerate

Pyramides

Le temps
Passé au sein
De la nature présente
Du début à la fin muette
Entre-ouvre sans lassitude
Chaque porte de faiblesse
Au premier jour ce sera un virus
Et le lendemain, le déséquilibre
D'une réaction chimique des plus intimes
Chaque examen est un regard dans l'abime
Chaque jour la combinatoire de la simple présence
Déjà identifiée par Leibnitz de l'aléa, du zéro et de l'unité
Complote dans l'azur comme dans l'épaisseur des tissus nobles
Nous ne sommes pas les premiers à demander une issue heureuse à la décadence
Et jamais avec autant d'insistance ne fut-il répondu que la paix ne nous serait accordée,
Ni à la manière du monde ni à celle de l'homme: 'ce n'est pas en tant que rois que vous deviendrez libres.'

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