Et si j'entends taper dehors
Les branches à ma fenêtre,
Je rêve et j'imagine alors
Que tu reviens, peut-être.
Et si le lac en profondeur
Les astres illuminent,
Se réjouit alors mon coeur
Et ma douleur termine.
Et si la brume tout autour
Se fond, quand sort la lune,
Je me souviens, chérie amour,
De toi, ma vraie fortune.
Michel Eminescu,1884
(Traduit par Paul Abucean)
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