Marlowe Poem by Marcel Aouizerate

Marlowe

Non, il a porté le fiel en notre sein
Tu as prévenu à ce moment
Il a cherché crié mais le chien
il a regardé et retourné le cri
Et tu suivais dans sa tête, autour sa nuit
ou alors il te suivait et il t’attendait,
il a cherché à prévenir comme lui, ou à partir de lui.

Alerter, car tu reconnais

maintenant comme si tu parlais à nouveau
comment le cri est resté contre le sol
ou bien comment le feu nous est resté comme
la brindille après le retournement.

L’homme il était à la même hauteur car il frappait
des doigts de sang, le chien
car la femme elle brûlait.
Mais lui, il était comme une brindille des paroles
qui surgissaient de sa bouche comme des fleurs;
car tu es de mon sang de mon sang, il frappait
parmi les cris des crapauds et des singes.

Non, il pouvait pas le connaître
à la façon comme il marchait.
Si tu l’as vu, il était en flammes
et il courait vers toi comme à partir de toi.
Il brûlait autour de lui
ou bien en lui et un peu au-delà
car tu nous as prévenus.
Il a cherché prévenir avec les yeux
mais il avait ses yeux ailleurs
car lui il était un Autre
plus souvenir que lui
dans son centre et
plus seul.

Si tu l’as vu il courait pareil à toi
et il ne parlait moins
sauf les singes et les chiens
comme il était lui entre les arbres et les yeux
ou bien lui même comme des chiens.

Et s’il t’a parlé, il t’a dit qui ou bien quoi
ou il t’a parlé, et il ne t’a rien dit mais tu devinais quoi
et tu devinais qui, et tu devinais un peu au delà.
Car ta main elle était sur lui couverte avec des yeux
car c’était la Loi ou bien
elle était bleue comme j’étais rien et je n’étais pas entre,
qui c’est moi comme le singe, l’autre et je ne dirais pas qui
quand il est derrière toi
mais finis de nous dire car alors
il ne peut rien contre ce rêve
ni contre les animaux qui te peuplent dedans.

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