À Marie Le Poem by John Lars Zwerenz

À Marie Le

À Marie le


débattement saules, lentement, au-dessus de la mer,

avec un marquèrent l'ecstasy.

Vous me vaincre en un seul coup
de votre cadence suave,
qui se répand comme le miel dans le soleil, de
l'éclat soyeux
de vos yeux et un raven tress, qui
orne votre juste cou comme un sable dentelle.

Vous flânerie dans une robe en albâtre,
dans le vestibule d'un lieu sacré,
dans la joyeuse carrés de marbre,
où fontaines glorieuse
montée dans l'air aromatiques,
entouré d'une couronne de montagnes émeraude.

Vous avez conquis moi, ma belle région reine.
Et je ne suis jamais être la même.
Votre sein est une rosée-clad meadow, coffre-fort
et doux, et le plus serein;
et je m'en vais comme un perdu dans un troubadour's dream,
intrigué par votre nom recueillement,
à côté d'un ordre décroissant, turquoise stream.

La fleure bon les parfums de votre pearl blanc mains sont
plus sucrés que toutes les terres Elysian,
et votre amour bandes sont
plus ã©levã©s pour servir dans l'éternité
qu'il ne serait jamais
à la règle de royaumes, les régimes, les plaines, la mer.

Et j'ai donc passer avec des hymnes toi
joie profonde dans mon coeur, convoyant à votre maison,
avec une infinie bliss et felicity, Nevermore
de se déplacer
comme un aveugle, mad marin sur la saumure sauvages.

Votre baiser est d'une propreté immaculée, palpitante, sanctifiés, vin
et votre look est d'une statue du regard:
solennellement envoûtante, d'une femme regal de l'admirable moyens, qui se promène
comme une déesse, sous les tilleuls aient le et le bouleau,
dans la splendeur du cloître, dans la cour de la cathédrale,
dans l'atmosphère parfumée ombrage de votre magnifique église,
où votre citadelle
est l'un d'un amoureux de la tendre règne.

Et j'ai toujours aller, partout où votre
sirène-brises comme débit,
perdu dans l'océan de vos mats, royal mane, et
une vue idyllique le reflet de votre visage immaculé
qui commandes chaque étang et le lac,
possédant un tel voeu pieux grace,
à être touché par votre beauté, de votre propre majestic souci.

Et les saules débattement, lentement, au-dessus de la mer,

avec un marquèrent l'ecstasy.


~ John Lars Zwerenz

composé du 15 juin, au cours de l'année de notre Seigneur
2014 A.D.
John Lars Zwerenz
soumis: Dimanche 15 juin 2014

This is a translation of the poem To Mary by John Lars Zwerenz
Sunday, June 15, 2014
Topic(s) of this poem: love
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John Lars Zwerenz

John Lars Zwerenz

NEW YORK CITY, U.S.A.
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