La lune décroissante
Se couche en noir dédale
D'une aunaie automnale
Dans la unit sans luisante.
Je me perds et m'égare
Auprès des eaux profondes,
Ténébreuses, immondes,
D'une funeste mare.
Les loques de l'automne
Comme elles s'en envolent,
Dans leur chute me frôlent:
Je tremble et je frissonne.
Et ma rêvasserie
S'effeuille à l'eau prochaine
Au feuillage du frêne—
Pareillement flétrie.
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